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La Quattro,

comme son nom l'indique, est le premier coupé sportif de grande série à transmission intégrale permanente de la marque (les premières voitures de grande série commercialisée avec ce système étant de la marque Subaru à partir de 1972). La première génération reçoit un 5 cylindres 2,1 L 10 soupapes (type WR), muni d'un turbocompresseur et d'un échangeur d'air qui augmente la puissance à 200 ch (au lieu de 170 ch sur la version sans échangeur qui équipait la 200 Turbo). L'Audi Quattro se reconnait facilement à ses ailes élargies et ses pare-chocs spécifiques qui la différencient de l'Audi coupé GT dont elle dérive. Le 0 à 100 km/h se fait en 7,1 secondes pour une vitesse de pointe de 222 km/h. Pour le millésime 1983, de nouveaux phares monobloc remplacent les doubles éléments et l'ABS est désormais de série puis, pour 1985, la calandre s'incline, les jantes deviennent plus larges et les feux arrière deviennent noirs. Le système de transmission intégrale de la Quattro est original pour l'époque car, à la différence de la plupart des autres véhicules de l'époque équipés de la transmission intégrale, il est non seulement équipé d'un différentiel central permettant d'avoir une transmission intégrale permanente (les roues avant ou arrière ne sont pas déconnectables à la différence des Audi A3, Audi TT ou autre Audi R8 qui ont un coupleur permettant d'entraîner plus ou moins les roues arrière ou les roues avant pour la dernière) mais en plus, ce dernier est intégré dans un carter fixé derrière la boîte de vitesses qui dérive étroitement de celle de l'Audi Coupé GT. Ceci est possible grâce à l'arbre secondaire de la boîte de vitesses qui est creux et à l'intérieur duquel passe l'arbre de transmission vers le différentiel avant. Ceci permet une compacité, une légèreté et une intégration simple. Ce système sera reconduit jusqu'à l'Audi A4 B7 et sera remplacé pour la génération suivante (y compris Audi A5 et Audi Q5) par un nouveau système permettant de reculer le moteur et nécessitant de désaxer l'arbre de transmission avant pour avancer le différentiel avant.


L'Auto-Union 1000S Saxomat 3 cyl 2tps,

Son modèle phare fut la P15, produite de 1928 à 1939. Cette voiturette était livrable en deux versions : un roadster et un cabriolet deux places. Elle était équipée à l'origine d'un moteur très particulier, le Pfaffrath, (dont la conception remontait à 1921). C'était, un trois cylindres deux-temps d'une cylindrée de 600 cm³. Elle connut, par la suite, de nombreuses versions et de nombreuses motorisations. Ce moteur Pfaffrath passa du 2-cylindres au 3-cylindres et fut appelé le « 3 = 6 » dans les catalogues de l’époque, car, pour DKW, la puissance développée par un trois cylindres deux temps était identique à celle d’un six cylindres quatre-temps... Assurément, cet argument purement commercial ne tient pas devant une étude technique un tant soit peu sérieuse. Ce qui est vrai, en revanche, c'est que le nombre de temps moteurs par tour est le même (quatre) avec les deux types de moteur ; c'est sans doute ce que le constructeur voulait mettre en avant. Le moteur Pfaffrath trois cylindres fut proposé dans les cylindrées et puissances suivantes :
780 cm³ (alésage/course 60 × 68) développant 20 ch à 3 200 tr/min,
980 cm³ (alésage/course 68 × 68) développant 25 ch à 3 500 tr/min,
1 054 cm³ (alésage/course 70 × 68,5) développant 32 ch à 3 800 tr/min (à partir de 1935).
Malgré certains aspects remarquables (puissance, légèreté, facilité d'entretien,…), il avait trois inconvénients : le bruit du deux-temps au ralenti,fumées dues à la lubrification par mélange essence-huile des reprises difficiles génératrices d'à-coups et surtout une forte consommation d'essence. Au point que DKW signifiait dorénavant, dans l'esprit du public : « Der Kunde weint » (« Le client pleure »).


La BMW 2002,

La BMW 2002 est apparue en janvier 1968. Les premières versions de ce modèle comportait : calandre noire et chrome en deux parties, portières dépourvues de baguettes latérales, étroites jantes tôle de 4.5 pouces à enjoliveurs ajourés.
La caisse légère de la 1600-2, bien que renforcée, vient d'hériter du moteur 1 990 cm3 de 100 ch DIN équipant déjà les berlines 2000 et les coupés 2000C, et fait de ce modèle le fer de lance la série des coachsLa BMW 2002 est appelée à un bel avenir et BMW lui appliquera scrupuleusement les recettes qui ont fait le succès de la 1600-2 et avant elle des berlines de la Nouvelle Classe. Rapidement dotées de moteurs plus performants, la 2002 deviendra très rapidement une voiture culte des années 1970, notamment grâce à l'apparition du modèle 2002ti (2 carbus double-corps - 120 ch) dès la fin 68, remplacée en 1971 par la 2002tii (Injection Kugelfischer - 130 ch) et suivie de la sulfureuse 2002 turbo (Injection et turbo KKK - 170ch). Elle se décline en deux phases la première reconnaissable par ses feux rond et la seconde par ses feux carré. Elle sera disponible sous plusieurs forme la 1600/1602, 1802, 2002/Ti/tii ainsi que la 2002 automatique. La 2002 turbo sera retiré du catalogue deux ans après sa commercialisation pour des raison de sécurité.


La Chrysler Le Baron Coupé / Cabriolet (1986–1995),

C'est en fait la troisième génération.
Sont d'abord importées pour le millésime 1989 les Le Baron Coupe et Convertible équipées du moteur 2,5 litres Turbo de 146 chevaux accouplé aux boîtes manuelle ou automatique en option. L'offre proposée en France s'élargie en 1989 avec l'introduction de la variante GTC disponible en Coupe ou Convertible avec un moteur 2,2 litres Turbo Intercooler de 177 chevaux et boîte manuelle. Pour la rentrée 1990, la Le Baron est dotée d'une nouvelle planche de bord. Est importée une nouvelle version livrable sous les deux carrosseries et dotée du moteur V6 3 litres à un arbre à cames par rangée de cylindres d'origine Mitsubishi développant 136 chevaux, accouplé à nouvelle boîte automatique à quatre rapports. La version Convertible équipée du moteur 2,5 litres n'est plus au catalogue. L'année 1991 voit la disparition de la variante GTC. Tous les modèles sont disponibles avec une boîte manuelle ou une boîte automatique, cette dernière étant en option sur la motorisation 2,5 litres Turbo et sans supplément sur la motorisation 3 litres. A partir de l'été 1992, la motorisation 2,5 litres Turbo n'est plus commercialisée en France alors qu'elle perdure outre Atlantique. La version Convertible dispose d'une boîte automatique tandis que la version Coupe conserve le choix entre la boîte automatique et la boîte manuelle. La Le Baron reçoit pour l'été 1993 une partie frontale remaniée caractérisée par la disparition des phares escamotables. Le Coupe bénéficie d'une suspension améliorée. Seule la boîte automatique est disponible. Cette gamme réduite à deux versions, Coupe LX et Convertible LX, annonce la disparition des modèles "J". La production du Coupe s'achève en 1994, suivie l'année suivante par celle du Convertible.


La Dodge ambulance militaire,

Le Dodge WC54 3/4 ton,
désignation catalogue G502, est un camion 4x4 de la gamme légère WC développée pendant la Seconde Guerre mondiale. Il fut principalement utilisé comme ambulance par l'armée américaine de 1942 à 1945 puis plus tard, en 1953, au cours de la guerre de Corée par l'US Army Medical Corps. Dans les années 1960, le WC 54 fut aussi déployé dans les armées de pays européens.
Certains véhicules furent également utilisés par le corps de transmission américain comme camionnettes radio.

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES:

Pays d'origine: Etats-Unis.
Transport de blessés, équipage 2 hommes.
Années de production: 1940-1945.
Moteur: Essence six cylindres à soupapes latérales, transmissions: 4 vitesses avant, 1 marche arrière, poids: 2 680kg,c arrosserie En tôles d'acier.
Longueur: 4940mm, largeur: 1981mm, hauteur: 2286mm, consommation: 29,5 L/100km, vitesse maxi: 85km/h.
Capacité d'emport: 4 hommes couchés ou 6 assis.
Les ambulances WC 54 ne sont pas équipés de treuils sur le pare-choc avant comme la plupart des autres modèles Dodge ou GMC. Les modèles qui en sont équipés sont des modifications d'après-guerre. La France va s'en servir en Indochine et en Algérie.


La Ford Mustang 351 mach1,

The Ford Mustang Mach 1 is an performance-oriented option package[1] of the Ford Mustang, originally introduced in August 1968, as a package for the 1969 model year. The Mach 1 title adorned performance oriented Mustang offerings until the original retirement of the moniker in 1978. As part of a Ford heritage program, the Mach 1 package returned in 2003 as a high performance version of the SN95 platform. Visual connections to the 1969 model were integrated into the design to pay homage to the original. This generation of the Mach 1 was discontinued after the 2004 model year, with the introduction of the fifth-generation Mustang. Ford first used the name "Mach 1" in its 1959 display of a concept "Levacar" called the Ford Rotunda. This concept vehicle used a cushion of air as propulsion on a circular dais.
1969–1970
Mach 1 1969–1970 '69 Ford Mustang Mach 1 Coupe (Orange Julep).jpg Overview: Production 1969–1970, Body and chassis, Body style 2-door coupe, Powertrain
Engine : 351 cu in (5.8 L) Windsor- tall deck V8, 351 cu in (5.8 L) Cleveland V8, 390 cu in (6.4 L) V8, 428 cu in (7.0 L) CJ/SCJ V8
Transmission: 3-speed automatic, 4-speed manual, 3-speed manual
1969 was the benchmark year for Ford Mustang in its proliferation of performance names and engines. No less than 6 factory performance Mustang models were available (GT, Boss 302, Boss 429, Shelby GT350, Shelby GT500 and the Mach 1). Additionally, seven variations of V-8s were available in the '69–'70 models; most of these also available in the new Mach 1. Due to the Mach 1's success, the GT model was discontinued after 1969 following poor sales of 5,396 units - versus the 72,458 sales for the Mach 1.[3] The Mustang would not wear the "GT" badge again until 1982. The Mach 1 package was only available in the 'Sportsroof' body style[4] (previously known as the 'Fastback'); never on the coupe or convertible. Many resto-mod visual conversions have since been performed by owners and enthusiasts, but are not Mach 1's by VIN code.


La Jaguar XK 150,

La Jaguar XK150 est une voiture produite par la marque automobile Jaguar. En 1957, presque 10 ans après le lancement de l’aînée de la famille, la 120, et après la 140 avec sa direction à crémaillère, Jaguar dévoile la XK150 qui est une voiture dont la ligne est radicalement différente de ses devancières. Le profil de la voiture est adouci et le pare-brise est maintenant en un seul plan bombé, comme la vitre arrière du coupé. Sur le plan mécanique, la plus grande différence avec les modèles précédents est l’introduction de freins à disque en série. Les freins à disque ont fait font leur apparition au Mans en 1954 sur la Jaguar D-Type. La direction est à crémaillère comme sur la 140, le moteur est toujours le 3,4 litres de 190 ch de base et 220 ch en version SE avec une culasse travaillée et peinte en bleu. Lancée d’abord en coupé et en cabriolet, la 150 voit arriver un roadster en 1958. Signe des temps, c’est le roadster 120, délibérément sportif, qui a été lancé seul et en premier en 1948. Plus qu’une évolution, la 150 est une voiture moderne, qui répond aux exigences du marché américain, mais elle ne fait pas sensation comme son illustre devancière car elle est maintenant une voiture de grand tourisme et non plus une pure voiture de sport. Les Jaguar routières sont maintenant très éloignées des modèles de course comme les Jaguar C-Type et Jaguar D-Type. Les coupés et cabriolets perdent leur garnitures intérieures en loupe de noyer pour adopter une couverture du tableau de bord en cuir. Les premiers modèles cabriolet jusqu'à juin 1958 sont équipés d'un tableau de bord en aluminium bouchonné similaire à la type E 3,8 litres. Avec la 150, Jaguar lance une version S du moteur 3,4 litres avec culasse straight ports peinte couleur or et équipée de trois carburateurs SU HD8 de 250 ch. En 1958, une version encore plus puissante voit le jour avec un moteur de 3,8 litres ce qui donne 265 ch en version S. Cette même configuration, la motorisation de 3,8 litres avec les trois carburateurs SU HD8, va se retrouver dès 1961 dans la type E. La XK150 resta en production jusqu’en 1961, même si très peu d’exemplaires ont été produits cette année-là, avant la présentation de la Type E en mars au salon de Genève.


La Jeep CJ 7,

Parmi les modèles de Jeep figurent : de 1945 à 1986 : la série des CJ (CJ-2 à CJ-7).
La Jeep CJ-7 est distribuée en Europe par Renault.

En 1946, la société Willys s’associe avec le constructeur français Hotchkiss pour la vente et la diffusion de jeeps en France sous la responsabilité de la SOFIA (Société Financière Industrielle Automobile).
En 1950, la marque Jeep est déposée.
En 1953, la marque Jeep est vendue à Kaiser Motors (en).
En 1952, Willys concède à Hotchkiss la licence de fabrication et de commercialisation des MB ainsi que celle des pièces détachées.
En 1955, l’armée française relance la production de jeeps suite aux échecs consécutifs de projet de développement d’un nouveau véhicule léger de reconnaissance (VLR), la Delahaye VLR.
La première commande porte sur 465 véhicules dénommés « Jeep Hotchkiss licence MB ».
Suite à quelques améliorations, les jeeps alors construites prennent l’appellation « M201 licence MB ». La production est presque entièrement destinée à l’armée française.
En 1956, Hotchkiss s'associe à Brandt, la production est effectuée dans l’usine de Stains. La production s’arrête en 1966 après un total de 27 628 jeeps M201 construites.
Ce succès militaire incita les dirigeants de la compagnie Willys à développer une version civile du Jeep.
Par la suite, la compagnie Willys fusionna avec la compagnie Kaiser, puis cette dernière (Kaiser-Willys) fut rachetée par American Motors Corporation (AMC) en 1956. Suite à ses déboires financiers (qui n'étaient absolument pas dus à la division Jeep), Renault prend le contrôle d'AMC au début des années 1980.
La marque a été reprise pendant quelques années par Renault qui a essayé d'en faire une tête de pont vers le marché américain.
En 1987, AMC était à l'agonie et fut vendue à Chrysler. La division Jeep-Eagle fut immédiatement créée car, peu importe dans quelle compagnie il soit passé, le nom Jeep a toujours été très rentable et très populaire.


La Matra Djet,

René-Bonnet Djet, versions à 1 à 4 (1962 - 1964)[modifier | modifier le code] Début 1962, Charles Deutsch et René Bonnet, qui s'étaient associés pour construire des voitures de course, se séparent. Les automobiles DB (Deutsch-Bonnet) deviennent des CD tandis qu'apparaît la marque René-Bonnet. Celle-ci participe avec des barquettes (voitures de sport découvertes) et des berlinettes (berlines de sport surbaissées) à moteur Gordini aux 24 Heures du Mans dès 1962. Au Salon de Paris, René-Bonnet expose la version routière de la berlinette vue au Mans. À cet effet, le Djet, qui est conçu par Jacques Hubert autour d'un ensemble moteur-boîte de vitesses de Renault Estafette placé en position centrale arrière, perd son sophistiqué treillis tubulaire (squelette de tubes) pour un châssis-poutre plus facile à fabriquer. La carrosserie monocoque est toujours en polyester stratifié. En juillet 1963, la gamme se compose ainsi : Version 1 : Moteur Cléon-Fonte de 1 108 cm³ 70 ch et châssis-poutre. Version 2 : Moteur Cléon-Fonte de 1 108 cm³ 80 ch à culasse hémisphérique ou 996 cm³ 82 ch à 2 arbres à cames en tête (A.C.T.) et châssis-poutre. Version 3 : Moteur Cléon-Fonte de 1 108 cm³ 80 ch à culasse hémisphérique et treillis tubulaire. Version 4 (compétition) : Moteur Cléon-Fonte de 996 cm³ 100 ch à 2 A.C.T. et treillis tubulaire. En octobre 1964, Matra, qui fabrique le Djet dans ses locaux à Romorantin (Loir-et-Cher), prend le contrôle des automobiles René-Bonnet en faillite suite à la mévente du Djet.


La Talbot-Matra Murena,





Marque Drapeau : France Talbot-Matra.
La Murena est l'œuvre du styliste Antoine Volanis. La finesse de la ligne contraste cependant avec les imperfections de l'assemblage encore trop artisanal de Matra. La surface vitrée, avec un pare-brise extrêmement incliné, est très importante et permet une visibilité globale satisfaisante pour un coupé à moteur central. Les phares sont escamotables pour garantir un capot très plongeant. Le Cx est de 0,328, valeur très bonne pour une voiture à moteur central. Les rares modèles 2.2 équipés de la « Préparation 142 » (74 exemplaires recensés), puis les 480 Murena S (1984) dont la puissance atteint 142 ch, sont équipées d'un aileron arrière en polyester noir qui alourdit quelque peu la ligne, ainsi que d'harmonieux bas de caisse couleur carrosserie.
Années de production 1980 - 1983, production 10680 exemplaires, classe coupé.


Moteur et transmission:

Énergie Essence, moteur(s) 4 cylindres en ligne 1,6 l et 2,2 l, position du moteur transversal en position centrale arrière, puissance maximale de 92 à 142 ch.
Transmission propulsion, 5 rapports, poids à vide1 000 à 1 050 kget performances, itesse maximale de 182 à 210 km/h
Carrosserie est constituée de panneaux en matériaux composites à base de résine et de fibre de verre. Les casquettes de phares, les pare-chocs sont en SMC (sheet moulding compound) : les chutes de fibres de verre sont hachées et incorporées dans une pâte conditionnée en rouleaux. Ce matériau est déposé dans les moules où il est pressé à chaud. Le SMC sera de plus en plus utilisé par Matra dans ses voitures ultérieures (Renault Espace générations I à III et Renault Avantime). Coupé deux portes à trois places, châssis cadre autoporteur, coefficient de traînée 0,328. Longueur 4 070 mm, largeur 1 752 mm, hauteur 1 220 mm, volume du coffre 320 dm3.
Chronologie des modèles, précédent: Matra-Simca Bagheera, suivant: aucun.
La Talbot-Matra Murena est la dernière collaboration entre le constructeur Simca, devenu Talbot après son intégration au groupe PSA, et Matra Automobile, filiale automobile du groupe Matra. Elle fut produite entre 1980 et 1983, sous les millésimes automobiles 1981 à 1984.
Les rares modèles 2.2 équipés de la « Préparation 142 » (74 exemplaires recensés), puis les 480 Murena S (1984) dont la puissance atteint 142 ch, sont équipées d'un aileron arrière en polyester noir qui alourdit quelque peu la ligne, ainsi que d'harmonieux bas de caisse couleur carrosserie.


La Mercedes 250 SE,

Mercedes-Benz Classe
La Mercedes-Benz 300 sera la première Classe S. puis la Mercedes-Benz 280 SEL 3,5 V8 et enfin la Mercedes-Benz Type W 222, la dernière Classe S. La Mercedes-Benz Classe S est la limousine de luxe et le symbole phare créé et produit par Mercedes-Benz qui est maintenant une division de Daimler. Depuis les années 1950, ce modèle a existé en dix versions et est la limousine la plus vendue dans le monde. Toutes les nouvelles versions intégraient de nouvelles technologies créées et introduites par Mercedes telles que les nouveaux systèmes de sécurité, de gestion du train de roulage ou encore les fonctions intérieures.

Les fonctions principales introduites dans ces modèles sont les premiers systèmes d'ABS, de Coussins gonflables de sécurité (« Airbag ») combiné à des rétracteurs de ceintures, ou encore l'ESP.

Une version coupé existe aussi sous le nom de Mercedes-Benz Classe CL depuis le début des années 1990, la première génération de ce grand coupé ayant été lancée peu après la W140, et la dernière et troisième génération ayant été présentée en 2006. Les coupés CL sont devenus de vrais modèles à part entière, et leur gamme est désormais indépendante de celle de la Classe S, même si ces deux modèles possèdent un intérieur très proche et une ligne générale assez semblable. Depuis 2003, la Classe S, qui a toujours été une propulsion (moteur avant et transmission aux roues arrière) peut recevoir sur certains modèles une transmission intégrale, appelée 4-Matic : la puissance du moteur est alors répartie aux quatre roues (sur le système 4-Matic, la répartition de la puissance reste la même et ce quelle que soit l'adhérence des roues à la route. Quarante pour cent de la puissance (du couple) est répartie sur les roues avant, le reste sur les roues arrière). Les tarifs en France sont, en 2010, de 82 500 euros pour un moteur 3.5 diesel (S350 CDI BlueEFFICIENCY) à 233 700 euros pour le moteur le plus puissant (S65 AMG). Le nom « Classe S » provient du mot allemand Sonderklasse qui signifie « classe spéciale » dont elle est l'abréviation. Les rejets de CO2 varient de 199 à 355 g/km selon les modèles essence ou diesel, longue ou courte et 186 g/km pour l'unique modèle hybride (S450 hybrid) sortie en 2009. La Mercedes Classe S est la limousine de luxe la plus vendue au monde.


La Ford 20 M TS OSI Coupé,

En 1960, à Turin en Italie, l’ingénieur Arrigo Olivetti et son associé Luigi Segre, président de la firme Ghia, fondent OSI (Officina Stampaggi Industriali) qui avait pour vocation de fabriquer les modèles créés par Ghia . La société s’occupe également des moules, de tous l’outillage nécessaire à l’emboutissage et l’assemblage des carrosseries ainsi que des multiplicateurs ou réducteurs de vitesse et bien sur des moteurs …. A la mort de Luigi Segre, la firme devient indépendante et dispose maintenant d’un bureau de style autonome . En 1963 au salon de Turin, Osi présente sa première voiture dessinée par Michelotti . De nombreux modèles verront le jour sur commande de clients réputés comme Fiat, Alfa Roméo, Ford, Alpine, Daf et même quelques voitures expérimentales jusqu’en Décembre 1968 ou cesse l’activité …. Ford avait commandé une version spéciale basée sur sa Taunus, c’était le superbe Coupé Fastback Osi Taunus 20 MTS qui est présentée au Salon de l’Automobile de Genève en 1966 ….
OSI was intended to be an independent design branch of Ghia's, focussing on niche efforts.
The car was designed by Sergio Sartorelli, better known as the designer of the Type 3 based Volkswagen Karmann Ghia Type 34. Approximately 2,200 of the Ford 20M based coupés were produced, of which approximately 200 were thought to have survived through till 2010.
Segre died following appendicitis in 1963, leaving the rising company without its personal link to Ghia and Ford.
He was replaced by Giacomo Bianco of Fergat, but Bianco was unable to keep the company afloat as contracts began to dry up. In 1966 2,000 employees had to be laid off, and OSI car production ended in December 1967.
Bianco was fired and Sartorelli was charged with winding up operations, incorporating the OSI design office with that of Fiat's in May 1968.
The company remained active as a producer of steel pressings and industrial equipment.


La Peugeot-403-13,

La Peugeot 403 est une automobile de la marque Peugeot produite entre 1955 et 1966 en plusieurs versions : berline, cabriolet, break, fourgonnette et camionnette bâchée (ou pick-up).
La 403 (8 CV) a été présentée pour la première fois le 20 avril 1955 au palais de Chaillot au Trocadero à Paris. Il s'agissait d'une berline à toit ouvrant. À l'époque, et jusqu'en 1957, le capot était orné d'un lion chromé, symbole de la marque, un accessoire retiré pour le salon de 1958 car considéré comme dangereux en cas de choc avec un piéton ou un cycliste. C'est au salon 1957 que fut présentée par le constructeur Peugeot la première automobile 403 berline la N4Y à sécurité passive. Peugeot supprimait le lion du capot, offert à l'acheteur toutefois, et remplacé par une petite baguette chromée (pour 1959 montage d'une grande baguette chromée). Plus tard, en 1957, les flèches arrière seront remplacées par des clignotants, les codes européens apparaîtront et les essuie-glaces deviendront parallèles en 1958. Le cabriolet est apparu en août 1956. Il sera construit à 2 043 exemplaires jusqu'à la fin 1960. En septembre 1956, naissance de la familiale et de la commerciale, puis le mois suivant de la camionnette bâchée. En octobre 1959 est commercialisée une version diesel à moteur Indenor, ce qui fera de la 403 la première voiture française diesel de série. Ce même moteur équipera aussi d'autres marques comme Austin, Vauxhall (à Singapour) et des Jeep Willys (en Corée). Cette même année apparaît la version dépouillée la 7cv essence, pas de ventilateur de chauffage, pas de neiman, enjoliveur de 203 moteur en 1290cc de la 203, mais avec cache culbuteurs de 403 donc admission d'un côté et échappement de l'autre, pas de déflecteur aux portes avant poignées et manivelle en plastique banquette à l'avant, volant de la 203, calandre simplifiée sans la moustache. 1959 est la seule année où il n'y a aucune inscription sur la malle arrière.
En 1962 la calandre de la 8cv est composée des mêmes barrettes verticales que celle de la 404.
Il a été produit 1 214 126 exemplaires de la Peugeot 403. Sa construction a été arrêtée en novembre 1966, le dernier exemplaire étant une 8 CV de couleur crème. En 1959, une 403 berline Grand Luxe valait 825 000 francs ; un cabriolet, 1 370 000 francs (prix en ancien francs).


La Porsche Carrera RS,

La Porsche 911 est une voiture de sport fabriquée par la firme allemande Porsche. La commercialisation de la première génération commence en 1963. Elle est alors la première intégralement conçue par la firme de Stuttgart. Près de cinquante ans plus tard, le modèle phare de Porsche en conserve les traits et le nom. La 911, dans la version de type 997 et 991, est toujours produite et vendue. L'architecture du moteur est restée inchangée jusqu'à aujourd'hui. Il s'agit du légendaire 6-cylindres à plat (flat-six), disposé en porte-à-faux arrière.
La Porsche 911 est reconnue comme une des plus illustres automobiles de l'histoire, et le modèle le plus célèbre de Porsche. Le modèle actuel n’a plus grand-chose à voir avec son aîné : il existe en effet une quinzaine de modèles différents de la Porsche 911, les anciens modèles font aujourd’hui partie des voitures de sport les plus recherchées par les collectionneurs. Pour fêter les 50 ans de la 911, Porsche a dévoilé le 4 juin 2013 une version « 50th Anniversary Edition » dont la série est limitée à 1 963 exemplaires en hommage à l'année de sa présentation.
La Porsche Carrera RS 2.7 de 1972:
Porsche lance en 1972 la 911 2.7 Carrera RS (nommée comme la 356 d'après la course Carrera Panamericana, et RS pour « Renn Sport »), une 911 dotée d'un plus gros moteur et allégée. À la suite d'une nouvelle réglementation sportive, elle est produite à 500 exemplaires afin d'obtenir une homologation pour la compétition, mais en réponse aux importantes ventes, la production est étendue à 1 000 exemplaires, puis finalement 1 590. Elle est dotée d'un moteur boxer six cylindres de 2,7 l de 210 ch. Elle a participé à de très nombreuses compétitions et reste un modèle de 911 emblématique, considérée comme la voiture sportive par excellence.


La Renault 8 S,

Lancée en juin 1962, la Renault 8 est dessinée par Gaston Juchet et Philippe Charbonneaux. C'est l'une des premières voitures françaises avec quatre freins à disques. Le moteur « Sierra » (Cléon-Fonte) à cinq paliers est nouveau. Ce moteur connaîtra une longue carrière puisqu'il sera encore utilisé sur les Twingo, Express, Clio et Super 5 dans les années 1990. Pour les modèles 1964, la planche de bord avec une boîte à gants est nouvelle et il existe une version mieux finie à moteur 1 108 cm³ provenant de la Caravelle 1100 et à boîte de vitesses à 4 rapports dénommée R8 Major.
À partir d'août 1968, la Renault 8 S, qui est une version sportive moins chère que la Renault 8 Gordini, possède le moteur de 60 ch à carburateur double corps de la Caravelle 1100 S. La Renault 8 S s'équipe d'un compte-tours, de quatre phares et de jantes larges. La Renault 8 S est supprimée en 1971 à Flins, elle sera définitivement arrêtée en 1976. Elle a été fabriquée de 1968 à 1971 à Flins et de 1968 à 1976 par la filiale espagnole Fasa-Renault. Elle est sortie en jaune, blanc et rouge.


La Triumph-Bonneville et la Buell,

Le nom le plus célèbre dans l'univers de la moto. Bonneville est synonyme de liberté, de voyage, d'indépendance et évoque les motos les plus séduisantes jamais créées. Le style, le son et les sensations authentiques de la nouvelle Bonnie sont le fruit d'un héritage Triumph de plus de 50 ans tirant profit des dernières avancées en matière d'ingénierie. Nous avons fait en sorte que le nom « Bonneville » exerce toujours la même fascination. La moto a gardé ce design irrésistible et cette simplicité de conduite qui pousse ses heureux propriétaires à la conduire tous les jours. Que faut-il de plus pour vous convaincre ? - See more at: http://www.triumphmotorcycles.fr/bikes/bonneville/2014/bonneville#sthash.1P5Vj10S.dpuf

Buell

La marque a été créée par Erik Buell au début des années 1980. Sa grande passion est la compétition. Erik Buell a conduit sa première moto à douze ans et il a été instantanément mordu. Plus tard, quand il a travaillé chez un revendeur local de motos pour payer ses cours du soir, il est passé rapidement du poste d'apprenti mécanicien à celui de responsable du service après-vente. À cette époque, Erik Buell commença à courir au niveau amateur, sa passion et son talent le conduisirent au plus haut niveau des courses professionnelles aux États-Unis. En 1978, il signa le temps de qualification le plus rapide d'un débutant pour la course Daytona 200.


La Citroen 2Cv cabriolet et la Ford Fast Back,


Renault 5 Turbo2 et Ondine 4l et R8,


Sportives-americaines et Mobymatic

Construite par Motobécane dans ses ateliers de Pantin en Seine-Saint-Denis (93), elle fut le cyclomoteur le plus vendu dans le monde de par sa robustesse et son design jusqu’en 1990. Les Bleues avaient de très bonnes finitions, une peinture très robuste, des chromes, une grande boite à outils, et sur les versions haut de gamme, un compteur kilométrique, un klaxon, un antivol, un accroche-casque.
Années de production 1957-2003
L'AV87 puis sa famille AV65-68 et AV85-88 étaient une évolution directe de la famille des AV76 dont elles reprenaient les mécaniques et la partie avant. La différence notable était la partie arrière du cadre qui avait un bras oscillant et des coulisseaux amortisseurs permettant le double de débattement par rapport aux coulisseaux verticaux des AV75 et 78, technologie datant de la 125cc D45. De plus, une grande boite à outils était intégrée sous la selle remplaçant la boite à outils tubulaire des AV7x. Le réservoir des AV88 avait une contenance maximale de 5l, une consommation en moyenne inférieure à 3l aux 100 km permettant de parcourir de grandes distance pour un cyclomoteur. L'AV87 et sa novatrice fourche à balancier eut une courte carrière et disparut en 1961, remplacée par les premiers modèles d'AV89 "Chaudron", un dérivé encore plus fonctionnel que les bleues dont la couleur cuivrée restera presque aussi célèbre que le bleu des ... "bleues". Les autres modèles avaient tous une fourche classique à suspension dans l'axe. Les AV65 et AV68 représentaient un bas de gamme aux AV85 et AV88 respectivement. Elles étaient privées de compteur, de chromes et d'accessoires. Les AV65 et AV85 n'avaient pas de variateur tandis que les AV68 et 88 en avaient un. Les AV89 garderont leur fourche à balancier jusqu'en 1963 où elles reçurent la fourche classique, mais renforcée par rapport aux "bleues". En dehors de la couleur, les 89 étaient équipées de carter protège chaine et d'éléments renforcés les rendant plus robustes et plus utilitaires que les bleues. Comme toujours chez Motobécane, elles étaient commercialisées parallèlement sous la marque Motoconfort, avec la dénomination AU6x ou AU8x Les mécaniques étaient sur toutes les versions le moteur AV7 déjà vu sur les AV7x et sur la famille AV4x, une mécanique éprouvée de 49,93cm3 à deux transferts et admission par la jupe. La puissance développée était de 2ch au départ. Vers la fin de la production, certains modèles ont bénéficié du moteur AV10 de la famille 51, une mécanique plus moderne, plus puissante à trois transferts et admission par clapets. Certains modèles 881 ont même bénéficié de l'allumage électronique. Le moteur AV7 a subsisté en parallèle à l'AV10 jusqu'à la fin de la production. La famille des AV88 a définitivement remplacé celle des AV7 dont la production a été stoppée au milieu des années 70, leur absence de suspension les rendant obsolètes. Les 88 ont continué une carrière utilitaire dans les campagnes essentiellement utilisées comme engin utilitaire par les professionnel et le monde rural du fait de leur grande robustesse. Les jeunes d'alors se tournant vers la famille 51 plus sportive.